ITFacto inaugure une série de salons en région consacrée à l’innovation IT. Le Cinum est conçu pour les responsables informatiques, mais aussi les directions métiers, RH, finance, marketing ou logistique, par exemple. (Photo Pixabay)
Le premier Cinum (Carrefour de l’innovation numérique et des métiers), salon semestriel itinérant du numérique, se tiendra les 26 et 27 avril à Lyon. Ce nouveau rendez-vous proposé par ITFacto, société de marketing B2B propriétaire du Monde Informatique et des sites Enjeux, cherche à apporter aux responsables IT et métier, les éléments nécessaires à la réalisation de leurs projets de transformation numérique. Pour cela, il prévoit une exposition avec une centaine d’éditeurs, constructeurs et intégrateurs ainsi qu’une soixantaine de start-ups, des conférences, des ateliers et des rendez-vous d’affaires.
L’événement se distingue par son positionnement régional. Le Cinum lyonnais s’adresse ainsi aux visiteurs des deux régions Auvergne-Rhône-Alpes et PACA. La 2e édition se tiendra les 20 et 21 septembre à Bordeaux pour les régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie. « Il ne s’agit pas que de s’intéresser uniquement à la ville dans laquelle se tiendra le Cinum, précise Laurent Eydieux, commissaire général, mais de se poser dans une zone géographique qui s’étend sur de très grandes régions, sud-est et sud-ouest en l’occurrence pour 2023. Pour Lyon, par exemple, où nous attendons 2500 personnes, nous voulons profiter de la dynamique de l’agglomération pour attirer des visiteurs venant à la fois d’Auvergne-Rhône-Alpes et de PACA. » Dans l’avenir, le salon continuera son périple dans les autres régions de France.
RPA, data, omnicanalité et même informatique quantique
L’événement s’adresse principalement aux responsables IT de PME et d’ETI, mais également à leurs directions métier (DAF, DRH, directions marketing ou logistiques, etc) avec des thématiques de conférences liées à leurs projets de transformation digitale. Pour les DAF, l’automatisation des processus avec la RPA (robotic process automation), le pilotage par la data ou la dématérialisation au service de la facture électronique, de la lutte contre la fraude, du recouvrement par exemple. Pour les DRH, la data analytique au service de la politique salariale ou des conseils pour attirer les candidats à l’heure de la pénurie dans de nombreux métiers.
Pour la logistique et les transports, l’optimisation des flux et l’IoT. Enfin, pour le marketing, les nombreuses questions associées à la personnalisation des offres, l’expérience client ou encore l’omnicanalité. Les directions métiers pourront profiter de l’événement pour réaliser une veille plus transverse sur l’IA, la migration des solutions dans le cloud, le data centric ou le low code no code, jusqu’à l’informatique quantique.
ED
